comment partir vivre autour du monde

Comment vivre autour du monde avec un job de rêve ?

Vivre autour du monde … Le rêve de beaucoup d’entre nous. Et bien c’était le mien aussi, donc je suis passé à l’action, en famille ! Loin d’être inaccessible, c’est le fruit d’une réflexion et d’un peu de préparation. Si c’est votre rêve aussi, commencez à préparer vos valises en lisant cet article.

Devenir père a bouleversé mon rapport au temps. Avec le travail, j’avais l’impression de ne pas assez voir ma fille, alors qu’elle grandissait à vue d’oeil. Hyper frustrant pour moi ! “C’est du temps que je ne rattraperai jamais” ou “pourquoi je suis bloqué dans cette réunion qui tourne en rond, alors que je pourrais être avec ma famille”. Autant de pensées qui me venaient à ce moment là. Je voulais juste utiliser mon temps pour ce qui comptait le plus pour moi. C’était juste avant de faire l’un des meilleurs choix de ma vie.

Avec cet article je vous partage mon histoire, qui j’espère vous inspirera pour vivre vos rêves en passant à l’action en cinq étapes :
– Mon grand rêve
– Faire de ce rêve un objectif
– Passer à l’action
– Accepter la confrontation du rêve à la réalité
– Être c’est faire

Cet article fait partie de l’événement “Prendre une année sabbatique pour oser vivre ses rêves” organisé par le blog Mon Super entretien d’embauche. Je vous recommande d’y lire l’article sur les questions à poser en entretien que j’ai trouvé synthétique et très instructif.

Vivre autour du monde en famille : mon grand rêve

vivre autour du monde en famille

Je vous le disais : devenu papa, mon rêve était de passer un maximum de temps en famille. Ne plus sentir cette pression de la montre pour aller à la crèche, pour aller au boulot, pour aller au sport, limite pour aller aux toilettes. Pour profiter de ma famille il fallait organiser ma vie autrement. Vivre autrement. Un métier conventionnel était incompatible avec mon rêve.

Je dois quitter mon travail de salarié. J’adore mon équipe, le sens de l’entreprise est génial et mon métier m’intéresse. Je suis heureux dans mon travail mais pas heureux dans ma vie. Alors je prends une année sabbatique ?

Le sabbat, nous vient du monde agricole. C’est comme cela que les Juifs à l’époque appelaient le repos de la terre, tous les sept ans, pour une année. Le sabbat implique donc un retour au travail de cette terre ou du salarié. Il faudrait qu’un jour je revienne à la vie dont je ne voulais plus. Il faudrait qu’une fois que j’ai gouté à la liberté, j’accepte de remettre des chaines. C’est non. Ma décision sera donc définitive. Plutôt qu’une année sabbatique, j’opte pour une vie sabbatique. Ou plutôt une vie dans laquelle je suis le seul maître de mon temps, pour l’accorder à ma famille en l’occurence.

Écoutez-votre coeur. Plutôt que d’essayer de le faire taire, pour ne rien remettre en question, écoutez-le attentivement. Écoutez ce qu’il a à vous dire, réfléchissez à comment vous pourriez rendre cela possible et mettre du sens dans votre vie.

Faire de ce rêve un objectif

transformer vos rêves en objectif pour les concrétiser

J’ai bien mon rêve en tête mais est-il concrétisable ? Puis-je en faire un objectif ? À y réfléchir de plus près, une vie sabbatique est impossible : il faut bien payer les factures et à force, je tournerais en rond si je ne faisais rien. Je dois continuer à travailler dans un métier qui me permet de disposer de mon temps comme je l’entends. Après une longue réflexion, que je vous présente dans la page à propos du site, je décide de me lancer à mon compte. Vous aider à créer votre job de rêve !

Notre fille a deux ans, la scolarité n’est obligatoire qu’à partir de trois ans. Libres de toute contrainte, notamment géographique, pourquoi ne pas profiter de cette année où tout est possible en voyageant ? Ce ne sera donc pas une année sabbatique de tour du monde mais un an de vie autour du monde. Dans ce voyage il n’y a pas de notion de repos. Il y a bien sûr un peu de tourisme, mais c’est surtout que nous changeons de cadre de vie régulièrement. Notre maison c’est notre famille, c’est nous trois. Mais tout le monde continue à travailler… Et notre fille à nous embêter (pour notre plus grand bonheur).

Travailler, mais quand ? Puisqu’il faudra s’occuper de notre fille et que c’est même l’objectif ? Quand elle dormira. Mes journées se feront sur deux plages de travail de 5h à 8h ou plus tard selon son réveil. Puis pendant sa sieste de 12h30 à 15h, voire plus tard. Minimum 5h30 de boulot par jour, tous les jours. Tout en profitant de ma famille. Cela fait minimum 38h par semaine, hyper concentré sur mon travail. C’est complètement jouable…

Financièrement on fait comment ? Le chômage pour vivre. Je travaille dur pour monter mon activité et suis donc en paix avec ma conscience. Il faudra néanmoins des économies personnelles pour disposer d’une trésorerie de départ : beaucoup de réservations de transports et de logement au début, au moins pour les premiers mois. Pour sécuriser les tarifs, les horaires et les villes où nous habiterons.

Le choix des destinations est capital : vous pouvez gagner de l’argent en voyageant. Si le transport représente toujours une certaine somme, vivre dans beaucoup de pays du monde est bien moins cher qu’en France, en Belgique, en Suisse ou au Canada. Je vous invite à voir le coût de la vie et le montant des loyers des pays d’Europe de l’Est ou d’Asie du Sud-Est. Si à cela vous supprimez votre loyer ou vous louez votre maison dans votre pays d’origine, vous vivez aussi bien, voire mieux qu’avant, en dépensant mois d’argent.

Enfin il y a la couverture santé en cas de pépin : pour cela il y a des assurances santé internationales qui vous couvrent très bien pour 200-300€ par mois environ.

J’ai l’impression qu’il n’y a plus vraiment d’excuses pour ne pas passer à l’action…

Passer à l’action pour vivre autour du monde

passer à l'action pour vivre autour du monde

Le passage à l’action c’est ce qui vous sépare de votre rêve. Vous êtes à un point A, vos voulez atteindre le point B. Que faites-vous pour bouger d’un point à un autre ? Que vous manque-t-il ?

Pour ma part, évoquer le projet avec ma femme. D’un profil plus prudent et normé, il a fallu lui présenter les bons arguments. Les nouvelles contraintes que cela impliquerait également. Écouter enfin ses peurs et ses désirs. Une fois qu’elle pouvait se projeter dans la démarche, nous avons réfléchi à comment préparer notre départ et selon quelle chronologie. Grand saut dans l’inconnu, larguer les amarres au sens propre du terme, ne s’improvise pas. Surtout avec un enfant.

Dans ce projet de vivre autour du monde, tout a commencé par une rupture conventionnelle. J’ai toujours donné le meilleur de moi-même dans mon travail, me suis bien comporté avec les gens. Aucune garantie, mais cela favorise quand même la discussion et d’obtenir cette rupture conventionnelle. Cette dernière permet d’envisager l’avenir plus sereinement qu’une démission, puisqu’elle donne accès aux allocations de retour à l’emploi.

Les premiers billets sont pris, les premiers logements réservés… La date du départ approche. Nous vidons l’appartement : nos affaires sont vendues, données ou conservées dans un garde-meuble. Le peu que nous gardons c’est l’essentiel : notre vie tient dans quelques valises. Cela fait peur et c’est excitant à la fois. Envisager le départ c’est aussi concevoir la rupture avec les proches. On se rend compte que nous ne les voyons jamais assez, tout en espérant qu’ils viendront nous voir à l’étranger.

Accepter la confrontation du rêve à la réalité

la réalité de la vie peut être différente de vos rêves

Au moment où j’écris cet article, nous sommes déjà passés par l’Espagne, le Portugal, le Maroc, l’Irlande et bientôt la Bulgarie puis l’Asie. De ces quelques mois, j’ai appris à accepter que le rêve, même en faisant de son mieux, ne devenait jamais totalement la réalité. Dans un sens positif comme négatif.

Tout projet ambitieux présente une addition de contraintes à votre vie. La question est : voulez-vivre une vie à 100 et avoir 10 de contraintes, ou une vie à 200 et avoir 20 de contraintes. Pour moi c’est la deuxième option sans hésiter.

Ce projet de vivre autour du monde implique des journées qui commencent à 4h50 pour être au travail à 5h. Elles terminent à 22h grand maximum, sinon le lendemain je suis cuit. Au delà de la famille et du travail, cela laisse peu de temps aux loisirs. C’est une vie intense. Je vous ai parlé des proches que nous attendions pour des visites. Malgré une chambre d’amis systématique, personne n’est venu. Cela ne fait que quelques mois donc cela changera peut-être. Aussi, comment leur en vouloir ? Au-delà de l’aspect financier pour venir, il faut pouvoir se libérer des jours (ma frustration de base, nous y revenons).

Ce qui est incroyable c’est que j’ai l’impression de vivre intensément. Je ne sais plus quel jour nous sommes. Plus de jours de semaines et de week-ends pour moi (et l’angoisse du dimanche soir qui va avec). Mes sessions de travail sont réparties en deux plages quotidiennes assez courtes mais hyper productives. Je fais ce que j’aime entre les deux, ce qui renforce mon plaisir à travailler. Je n’ai plus l’impression que mon travail sacrifie mon temps en famille. Si un jour, je décide de ne rien faire c’est possible. Aucun compte à rendre. La réalité c’est que je le fais de manière exceptionnelle car je n’en éprouve aucun besoin.

Être c’est faire

Faites exister votre rêves de vivre autour du monde

Si vous voulez vous accomplir, agissez comme celle ou celui que vous souhaitez devenir. Être c’est faire. Votre rêve existe si vous faites des choses pour le construire, lui donner vie. Il y a aussi une satisfaction à être dans l’action, de progresser, de faire des ajustements. Faire c’est devenir meilleur, se développer en tant que personne.

Vivre autour du monde pendant ces premiers mois m’ont déjà beaucoup appris : ce qui fait le bonheur c’est avec qui on partage les moments. Pas avec quoi on les vit. Le minimalisme imposé par notre nomadisme, m’a encore plus donné conscience de l’essentiel. J’ai également confirmé que cette vie de liberté c’est ce que je cherchais profondément. Enfin, la vie constante en famille n’est pas toujours facile et il y a un nouvel équilibre à trouver.

J’ai pensé à prendre une année sabbatique et j’ai adapté le principe à mon contexte. En tout cas l’année sabbatique ne se suffit pas à elle-même. Elle doit avoir un but. Si prendre une année sabbatique vous fait rêver, quel est votre rêve justement ? Mettez à profit cette année pour le concrétiser. En faire un objectif et le réaliser. Plus qu’une pause, une année sabbatique peut être un test grandeur nature pour vivre une deuxième vie : celle dont vous rêvez, le temps d’une année. Et pourquoi pas en faire la suite de votre vie.

Allez rêvons un peu ensemble : partagez en commentaires quel est votre plus grand désir et ce que vous faites pour le réaliser 🙂

Si cet article vous a intéressé, partagez le à un proche ! (:

50 réflexions sur “Comment vivre autour du monde avec un job de rêve ?”

  1. Tooop ton article et super ce rêve que tu construis !
    Je retiens cette phrase :
    Si vous voulez vous accomplir, agissez comme celle ou celui que vous souhaitez devenir.
    C est ce que j essaie de faire, comme si finalement ça revenait à manifester qui ont veut devenir 😉

      1. C’est chouette de voir que certaines personnes passent à l’action pour réaliser leur rêve ! 👏 Bravo.

  2. Alex

    Merci pour cette impulsion. Il est vrai que souvent le rêve n’est pas toujours semblable à ce qu’on en avait idéalisé .Pour reprendre une citation d’Olivier : “Il faut avoir peur et le faire quand même”. Au final on ne regrettera jamais d’être passé à l’action mais on regrettera toujours de n’avoir rien fait pour le réaliser.

  3. J’aime beaucoup ton article, il résonne profondément avec mes propres aspirations. L’idée de réorganiser sa vie pour prioriser la famille et vivre pleinement est inspirante. Ce que j’apprécie, c’est la décision de dépasser l’année sabbatique pour construire une vie en accord avec ses propres valeurs. C’est vrai que vivre ses rêves exige du courage, de l’organisation, c’est un engagement à long terme.

    1. Merci Patricia pour ton commentaire.
      La vraie question n’est pas de nous demander ce qui nous retient (le regard se porte vers l’arrière), mais plutôt ce qui nous sépare de nos rêves (le regard se porte droit devant et se projette vers l’horizon).

  4. Merci pour cet article très très inspirant 🙂
    Je me rend compte que le pas le plus dur à faire, c’est OSER…
    Bon après, il ne faut pas y aller la ‘fleur au fusil’ bien que j’avais déjà vu des gens faire cela 😀

    Mais avoir une vie palpitante et à notre image, cela se construit, dans le doute et la douleur par moment, mais pour en récolter un alignement avec soit-même, ça vaut le coup. Et dans ton cas, tu dois ajouter l’alignement avec ta famille, rien que ça GRAND BRAVO 🙂

    Avec ma femme, on met en place le blog pour être digital nomad, et voyager également. Pour ma part, passionné de judo, j’ai le rêve d’aller pratiquer du judo, enseigner, partager cette discipline dans d’autres pays 🙂

    1. Merci Jérémy !
      Super projet dans lequel je vous souhaite tout le meilleur du monde. Du pain sur la planche, mais on sait pourquoi on le fait.
      Nous sommes “cousins de sport” car je suis passionné de jiu jitsu brésilien, et le pratique là où je vais 😉

  5. Super article très inspirant !

    En pleine reconversion professionnelle, j’en retiens qu’il faut OSER!
    Encore merci pour ce coup de boost

    1. Bravo d’avoir osé et merci pour ton partage d’expérience. C’est toujours très inspirant d’entendre ce genre de parcours !

  6. Merci Vincent pour ce très bel article ! Comme toi, j’ai choisi la liberté géographique, et comme toi je m’aperçois que la réalité nous rappelle parfois à l’ordre ! Pour autant, je vis ma vie de digital-nomade, et je concrétise mon rêve !

    1. IL n’y a pas de situation parfaite, mais il y en a de meilleures que d’autres. En tout cas plus adaptées à chacun 😉
      Merci pour ton commentaire de femme libre et heureuse !

  7. Diane

    Bravo Vincent pour ce partage, accomplir ses rêves est très important.
    Une pluralité de cultures est simulatrice de créativité, le carburant de tout entrepreneur.

  8. Merci pour ton partage si inspirant !
    De mon côté, c’est mon conjoint qui est plutôt sur la réserve et prudent. J’ai encore du pain sur la planche… ! 🙂

  9. Merci beaucoup Vincent pour cet article inspirant et plein de sagesse !
    J’ai particulièrement apprécié ta démarche de transformation d’un rêve en un véritable objectif, tout en restant fidèle à l’équilibre entre vie personnelle et aspirations professionnelles.
    Le courage d’oser, même lorsque le chemin semble incertain, résonne profondément avec mes propres expériences.
    Encore merci pour ce partage enrichissant ! 🌷

  10. Bravo d’avoir osé ! C’est la première étape et souvent la plus difficile. Il faut oser braver la peur et les obstacles, planifier et organiser pour tout changer et …. just do it ! Je serai ravie de vous suivre dans votre tour du monde 🙂 Merci pour le partage !

  11. Merci pour ce très chouette article !
    J’ai moi aussi expérimenté la vie autour du Monde avec ma famille. Après une tour du Monde on a décidé au retour de nous reconvertir pour avoir des métiers qui nous permettaient de devenir digital nomades.
    Il a fallu se préparer, construire les bases de cette vie dont nous rêvions pour pouvoir partir l’esprit tranquille. 5 ans de vie nomade en famille et 5 ans d’école en voyage. Comme tu le dis, tout n’est pas parfait, mais quel mode de vie l’est ?

    Aujourd’hui, nous sommes en Espagne et nous expérimentons encore un nouveau mode de vie, celui d’expatriés. La vie est courte, profitons-en et pas seulement à la retraite.

    Je te souhaite beaucoup de bonheur ainsi qu’à ta famille dans ce mode de vie.

  12. Merci pour le partage et bravo pour ton parcours 🙂 J’ai déjà réalisé mon rêve grâce au blogging qui était de pouvoir travailler quand je veux, d’où je veux (maintenant il reste à maintenir ce rêve jusqu’à ma retraite ^^). Tous mes autres rêves sont des destinations de voyage, que je réalisent au fur et à mesure.

  13. Merci pour cet article, je pense aussi que remettre ce qui fait sens pour nous au centre de nos journées est le plus important. Le poids des habitudes, les barrières que l’on se donne peuvent nous arrêter. Bravo à toi d’avoir su trouver la force de te lancer avec ta famille. Pas simple d’embarquer une famille! On est bien d’accord les plans ne se passent jamais comme prévu et c’est grâce à cela que l’on sort grandi

  14. Merci Vincent pour ton partage. Tout ce que tu écris me parle beaucoup. Je ne suis pas maman, mais c’est après mon mariage que nous avons décidé avec mon mari, avec qui je suis en couple depuis bientôt 20 ans, que nous voulions passer beaucoup plus de temps ensemble, voire travailler et construire un projet à deux. Nous avons commencé par un slow travel pendant un an autour du monde, avec 5 mois en Polynésie française, 2 mois en Equateur, 3 semaines à NY, 2 mois à Paris (et oui, du sud de la France c’était un vrai désir que d’expérimenter la capitale^^), 15 jours à Singapour et 15 j Cambodge et enfin 1 mois à Bali. Mais ça, ce n’était que le début du grand voyage, ensuite on a continué avec un tour jusqu’en Islande avec notre van pendant 6 semaines et d’autres petits périples en Europe. Tout comme vous, on se sent vraiment vivants, mais tout ça n’empêche pas de construire un projet pro en accord avec nos valeurs. D’où la naissance du blog Madame Shiitake 😉 Hâte de lire la suite de vos aventures !

  15. Merci pour cet article tellement puissant et inspirant. Tout d’abord parce que je partage aussi ce besoin de passer davantage de temps avec ma famille plutôt qu’à subir des réunions interminables au travail. Ensuite, parce que c’est aussi ce besoin de liberté qui m’anime et me pousse à me mettre en mouvement pour créer la vie de mes rêves. Et enfin, parce que vous avez eu le courage d’aller au bout de vos rêves, et je trouve ça carrément admirable. Bravo.

  16. Merci pour cet article très inspirant. Je crois profondément en cette association du rêve et de l’action.

  17. Jessica

    Je me reconnais dans beaucoup de choses que tu dis : ne pas savoir quel jour de la semaine on est, avoir une chambre d’amis qui ne sert pas aussi souvent qu’on le voudrait… Mais avant tout, cette belle liberté et ces expériences de vie formidables. N’hésite pas à me contacter quand tu sera en Bulgarie, pour l’instant, nous vivons à Sofia ! 🙂

  18. Lison

    Bonjour, Vincent,
    Merci pour cet article qui me parle beaucoup car je suis dans un moment de grande remise en question de mon mode de vie. Ta phrase « ce qui fait le bonheur c’est avec qui on partage les moments » me rappelle un extrait de « Into the wild » : « Le bonheur n’existe que s’il peut être partagé ».
    Merci pour ces riches pistes de réflexion…

  19. Merci pour ton partage.

    Quand on a une conviction, il vaut mieux tout faire pour la réaliser, quitte à faire marche arrière, plutôt que de regretter plus tard.

    On n’a qu’une vie, autant y aller à fond !

    Ton parcours est intéressant. Je te rejoins sur le point qui permet de vraiment passer à l’action, car c’est probablement ce qui m’a le plus fait progresser ces 20 dernières années :

    Deviens la personne que tu veux être et agis comme telle chaque jour.

    Je ne peux que te comprendre 😉

  20. Merci pour cet article inspirant dans lequel tu nous partages ton rêve. Le récit de ton histoire est aussi un guide pour prendre une année ou une vie sabbatique.

  21. Merci pour ce témoignage et bravo pour ce passage à l’acte.
    Parfois, il faut plus de temps (ça a été le cas pour moi ;-)) Mais c’est bien l’action qui nous lie et la motivation de vivre autrement et plus en phase avec nos aspirations.

  22. J’espère que tu parviendra à réaliser ce rêve. Mais en général, pour atteindre ses rêves, c’est un long chemin. Et comme le disait je ne sais plus qui : “ce n’est pas le but qui est intéressant, mais le chemin”.
    Tous mes vœux de réussite !

    1. Merci pour tes voeux Flore. Je te rejoins sur le fait que le plus important est d’apprécier le chemin plutôt que se focaliser sur la destination. EN tout cas le périple rend la destination encore plus belle !

  23. Elise

    Wow, merci pour cet article inspirant. Je retiens qu’avec une planification réfléchie et un engagement sincère, il est possible de transformer un rêve en réalité. Ton témoignage invite à repenser notre relation au travail et à oser suivre nos aspirations les plus profondes, tout en acceptant les contraintes. Un bel exemple de courage et d’authenticité pour ceux qui cherchent à vivre pleinement.

  24. Bravo, d’avoir osé. je suis dans une entreprise similaire mais en solo et j’espère que l’aventure Blogueur pro sera le tremplin pour continuer de voyager et réaliser ce rêve au delà de l’année qui vient de passer. En tout cas merci pour le partage et bonne continuation

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